fragments d’histoire

Les Trésors Corsaires dans la Mer des Caraïbes

La Confrérie des Corsaires

Cette époque est marquée par de nombreuses prises de guerres et bouleversé par des événements issus de facteurs diverses : Ouragans, batailles navales, naufrages.

L’histoire de la Guadeloupe possède des facettes ignorées sur des paysages maritimes qui rappellent l’importance de la mer dans la formation des Antilles.

De nombreux vestiges d’épaves de navires de guerre, de commerces et de cabotages sont enfuis sur nos côtes et certainement dans la mer des Caraïbes.

Comme l’histoire nous le révèle les Corsaires et Pirates ne partaient pas avec tout leur butin à cause du pillage exercé en mer et par conséquence cachaient une bonne partie sur des îles ou dans des lieux bien secrets.

Pour rappel  la Guadeloupe fût le centre des Corsaires de la Caraïbe où de nombreux corsaires, pirates, flibustiers, boucaniers et forbans avaient  pris leur quartier sur l’ïle.

Ces navires étaient souvent armés de richesses incommensurables formant un précieux trésor :

Pièces d’or, lingots d’or ou de fer, bijoux, perles, pierres précieuses (diamant, émeraude, saphir, rubis), foulards, écharpes, fourrures, peaux de bêtes, soie, tissus, tonneaux de vins, rhum, épices, instrument médical, parchemins, cartes etc.

Le 18 décembre 1809, deux navires de transport datant du Premier Empire, appelés flûtes, sont coulés dans l’Anse à la Barque (Bouillante) sur la côte sous le vent de la Guadeloupe, alors la colonie est sous pression de la marine britannique.

Egalement La commune de Port Louis dans le nord de la  Grand terre devint un nid de Corsaires armé par l’Intendant de Ranché vers 1744.

Entre 2001 et 2008 des campagnes de prospection ont eu lieu et ont révélé à, l’Anse à la Barque, en plus des vestiges de ces navires, la présence  de structures de quatre autres épaves et qu’une septième épave à été déclarée âpres la tempête de (Omar 2009).

Pour rappel, c’est après un bref combat naval que les flûtes, la Seine et la Loire fut coulées dans cette anse de la Côte sous le Vent.

N’oublions pas que notre célèbre Capitaine Moëde surnommée le Surcouf des Antilles fût emporté avec son équipage par un ouragan au large de la Guadeloupe.

Selon une certaine légende, un libre de couleur, que l’on disait pêcheur, est devenu  un très grand propriétaire terrien, aurait débuté en trouvant un trésor caché de corsaire ou pirate.

Certainement la Guadeloupe et la Mer des Caraïbes sont les gardiens d’une immense fortune dont nous ne connaissons pas l’immensité.

Mais les cartes et les manuscrits ésotériques de ces corsaires attisent curiosité et avidité depuis des siècles même parmi les Etats en témoigne le dernier épisode de la découverte du bateau du corsaire Jean Ribaut entre les États-Unis et la France.

Carte au trésor de la buse

Carte au trésor de la buse

Olivier Levasseur dit « la Buse » est un pirate du XVIIIᵉ siècle qui écuma l’océan Indien après avoir fait ses premières armes dans les Caraïbes.

 

La France réclame les vestiges d’une épave découverte au large de la Floride

Les trois canons en bronze et le monument en marbre portant la fleur de lys proviennent, selon l’ambassade de France, du vaisseau de guerre «La Trinité», disparu en mer en 1565.

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Par Thomas Blachère - Le Parisien

Le 2 décembre 2016 à 16h32, le logo du Parisien est la propriété du Groupe Les Échos-Le Parisien (LVMH1) © Le Parisien

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